Cookies moelleux et croquants

Cette recette, c’est vraiment que du plaisir. Super simple et rapide, elle permet d’avoir une fournée de petits délices à emporter partout en cas de fringale.

Temps de réalisation : 15 min de préparation et 15 min de cuisson

Ingrédients :

• 180g de farine (blanche ou complète à votre convenance)
• 1 c.à.c de levure chimique
• 100g de beurre demi-sel
• 30g de sucre de canne roux
• 1 œuf
• 4 c.à.s de flocons d’avoine
• 3 c.à.s de graines de courge
• 80g de chocolat (noir, lait, blanc… encore une fois comme vous aimez le mieux !)

Étapes :

• Préchauffez votre four à 140°C
• Fouettez vigoureusement l’œuf et le sucre

• Faites dorer les graines de courges 5 minutes à la poêle
• Coupez le chocolat en morceaux grossiers

• Ajoutez ces ingrédients à la pâte ainsi que les flocons d’avoine (avec les mains c’est plus simple de bien les intégrer)
• Sur une grille ou plaque recouverte de papier cuisson, formez des petites boules légèrement aplaties (les cookies s’étalent peu à la cuisson, vous pouvez donc les serrer un peu)
• Enfournez pendant 15 min
• A la sortie du four, ils sont encore mous. C’est normal, c’est la méthode pour qu’ils restent moelleux !

L’astuce de la gourmande : conservez les au frigo, ainsi ils resteront très moelleux alors que le chocolat deviendra très croquant. Un contraste de textures renversant !

Le conseil de la diet’ : cuisiner sa pâtisserie est un intéressant pour maîtriser ses fringales émotionnelles. Qu’il s’agisse d’une douce gourmandise ou d’une violente compulsion, prendre le temps d’élaborer une recette et de savoir ce qu’on ajoute permet de faire un pas vers la pleine conscience. Pendant que cela cuit, on pense à nos envies, nos émotions, la raison de notre faim. Pourquoi pas même les coucher sur papier si cela vous dit ? On profite de l’odeur qui emplit la pièce. Enfin quand vient le temps de les manger, on les déguste, bouchée après bouchée. On prend le temps de décomposer les saveurs et les textures et de ressentir le plaisir que ça nous procure. Et surtout : on ne CULPABILISE PAS !